Visegrád Four : Survivre, et non prospérer, dans la discorde
« Anticipant des funérailles à Prague, le renouveau du V4 a émergé, » heralds un titre du quotidien conservateur hongrois,  ;Magyar Hírlap, accompagnant une interview avec Ágnes Vass, Directeur de recherche de l’Institut hongrois des affaires étrangères. Vass soutient que le talon d’Achille du bloc et son atout le plus formidable est sa malléabilité – un trait qui, malgré les gouffres creusés par la crise ukrainienne, sanctionne encore les consorts pragmatiques dans des domaines tels que l’énergie et la migration.
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Martin Ehl de Hospodářské noviny offre un diagnostic similaire depuis Prague : « Le groupe de Visegrad n’est pas en train de mourir, comme certains pourraient l’imaginer, mais il vient de se recalibrer pour adopter l’approche peut-être la plus pragmatique de ses trois décennies d’existence. Au lendemain du sommet, les premiers ministres du groupe se sont empressés de réfuter toute rumeur, affirmant le potentiel de Visegrad en tant que bloc de défense puissant au sein de l’Union européenne.Pour l’instant, le groupe de Visegrad n’est pas encore en place.
Les quatre pays ont trouvé un rare accord sur un dilemme qui menace de susciter de futures discordes en Europe centrale : l’afflux de produits ukrainiens à bas prix.
Dans les pages du journal polonais de référence, Rzeczpospolita, le politologue Tomasz Kubin espouses  ;a adopté une position tout aussi utilitaire en écrivant une missive intitulée « Ne tuons pas le groupe de Visegrad – il peut encore s’avérer très utile ». » Il plaide pour un « gel » des activités du V4 plutôt que pour un arrêt complet. M. Kubin estime que l’alliance pourrait jouer un rôle important dans les débats sur les réformes des traités de l’UE ou dans les dalliances diplomatiques avec les nations situées au-delà de son territoire – des engagements souvent menés dans le cadre du format élargi « V4+ ». M. Kubin souligne le caractère pratique de la revitalisation d’un cadre existant par rapport à la tâche laborieuse d’assembler une nouvelle coalition à partir de zéro.
La Hongrie est en train de céder une partie de sa souveraineté à Pékin, sanctionnant les gendarmes chinois qui foulent le sol hongrois à titre officiel.
Ralph Janik | Die Presse | 13 mars | DE Ralph Janik, chercheur en droit international pour Die Presse, note que l’adhésion de l’Autriche à l’UE la mêle aux Politique étrangère et de sécurité commune web, quelque peu en contradiction avec l’affirmation de la ministre de la défense Klaudia Tanner de non-intervention en cas d’attaque d’un allié de l’UE. La neutralité, sans être annulée, s’est transformée ; l’Autriche conserve la prérogative d’éviter certaines actions de l’UE, comme le financement des armes ukrainiennes. Cependant, l’adhésion à l’UE élargit la marge de manœuvre diplomatique de Vienne. La marque de neutralité de l’Autriche est devenue un hybride nuancé – flexible, mais lié aux actions collectives de l’UE. Elle pourrait, si elle le souhaite, apporter un soutien militaire, dans un geste de solidarité plutôt que de neutralité. La neutralité de l’Autriche est devenue un hybride nuancé.
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L’UE et la neutralité de l’Autriche